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Bertrand du FAYET

Scénario

Issu d’une vieille famille auvergnate, breton de naissance, fils de militaire, Bertrand a vécu aux quatre coins de France. Originaire de nulle part, il fut breton, vendéen, occitan, lorrain, lillois, lyonnais, parisien, cantilien…c’est un citoyen du monde à l’échelle Française.

Après un début d’études en école de commerce, Bertrand décide de se réorienter, il a 20 ans. Il effectue une licence de Théâtre-Cinéma et une maitrise d’histoire à Lyon.

Cette passion pour l’histoire et le spectacle est née un soir d’enfance, en Vendée, quand il eut la chance de participer à la Cinéscénie du Puy du Fou en tant que figurant.

Animé par ces passions du spectacle vivant et des vieilles pierres, il débuta sa carrière aux côtés du metteur en scène Bruno Seillier.

A ses côtés, Bertrand eut un accès privilégié à des lieux plus féériques les uns que les autres : le Palais des Papes d’Avignon, les Invalides, le Grand Palais, le château de Saumur et rencontrer ou collaborer avec des personnalités aussi diverses que passionnantes : Robert Hossein, Franck Ferrand,  Bernard de la Villardière…

Chacun de ces monuments étant une marche supplémentaire pour atteindre son objectif ultime : écrire des spectacles historiques. Cette chance lui est offerte par l’association LES AMIS D’ALAIN DECAUX

« Quand LES AMIS D’ALAIN DECAUX m’ont contacté pour participer au spectacle en tant que scénariste, mon cœur a fait un bond monumental. Si évidement j’avais entendu parler d’Alain Decaux, c’est l’historien Franck Ferrand, avec qui j’ai eu la chance de travailler, qui m’a transmis cette admiration envers celui qui fut son mentor.

Quel honneur que de participer à la poursuite de ce qui fut l’œuvre de cet immense conteur : la transmission de l’amour de notre belle histoire de France ! Notre monde est en pleines turbulences et cela me semble capital.

L’autre raison qui m’a donnée envie de participer à cette aventure est plus personnelle : mes parents ont vécu quelques années à Vineuil Saint Firmin, village qui est juste en face du château et des grandes écuries…j’ai donc un attachement particulier à cette si jolie ville que je retrouve avec grande joie !

Modestement, je suis heureux de participer au rayonnement de Chantilly »